Pour avoir longtemps sous-estimé les répercussions de la chute du prix du baril de pétrole sur la situation financière du pays, le gouvernement se retrouve aujourd’hui acculé à rechercher au sein de ses institutions de «l’argent frais» ou de l’argent qui «dort» nécessaire au fonctionnement de l’économie. Il paie à présent en quelque sorte le prix de son imprévision depuis au moins une année et demie, convaincu depuis le début que la baisse des recettes pétrolières ne durerait pas et encore moins qu’elle atteindrait le niveau abyssal suite à un cours du baril de brut à moins de 30 dollars.
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